Le choc des nouvelles, la tristesse, la révolte. Et deux filles qui nous observent silencieusement, les jours qui ont suivi, nous enrager, pleurer, discuter. Se retrouver, au lieu de les coucher, à leur parler de HARA KIRI, wolinski, cabu. Leur communiquer mon amour de Luz en particulier, se réjouir qu'il soit encore en vie. Et la satisfaction de constater (après explication) que Colette comprend -elle sourit- cette couv' de CHARLIE HEBDO.
Il y a de l'espoir.
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